Tantas saudades

Cher Alquimista,

C'est toujours avec plaisir que je reçois vos newsletters, cette fois, je clique sur le lien et je me retrouve sur votre site, dans l'Algarve plus précisément et j'en ai besoin. Je navigue, je vogue, plane d'une page à l'autre, je me ressource toujours ici, à défaut de partir là-bas...

Mon pays me manque, ma région me manque, ses traditions, ses paysages, son peuple... Mon peuple, je pensais y aller pour les fêtes de Noël revoir mes parents, ma famille, ma terre... Zut, mes parents m'apprennent qu'ils viennent… Tant pis, j'irais pour le Carnaval !

Comment se fait-il que je sois si attachée à ce petit coin lusitanien ? Je suis pourtant née en Angola, je n'ai vécu que 4 ans dans l'Algarve étant enfant, et cela fait 24 ans que j'habite en France ??!! Voilà, c'est fait, les larmes coulent sur mes joues, mon pays me manque... "Tantas saudades, gostava tanto de lá estar..."

Merci à Alquimista et à tous les internautes qui me font voyager à travers leurs récits et leurs magnifiques photos.

Ana, de France, le 14 décembre 2002.

Matar a saudade

Bonjour, Mr l'Alquimista,

Merci pour vos vœux de fin d'année, je vous les retourne également à vous et à votre famille. J'attends toujours votre venue dans la région et votre visite à Reims afin de faire connaissance et mettre une image à un nom. Comme précédemment dit, vous êtes le bienvenu, et je reste à votre disposition pour vous accueillir chez moi quand vous voulez ! Merci et bonnes fêtes. Toutes mes amitiés. Un citoyen du monde et surtout un Alentejano.

Boas festas de Natal et bom ano novo a você e à sua família, boa coragem e boa continuação no seu site que nos faz prazer e nos mata a saudade das nossas raízes não esquecidas. Estou longe do Alentejo e de Aljustrel, mas graça a você estou perto (loin du coeur, loin des yeux mais grâçe à vous près et toujours présent dans la pensée). Amizades de um amigo que esta longe, mas perto graça a você.

Francisco Farias, de Reims, le 13 décembre 2002.

Si un jour...

Bonjour …,

Merci beaucoup pour ce beau récit de Jean-Claude Petit comme cadeau de Noël. Ces textes sont superbement bien écrits et tellement agréables à lire.

Comme à chaque fois que tu nous envoies des mises à jour de ton site, je suis encore allée me promener sur plusieurs pages que je ne me lasse jamais de revoir et d'admirer tes superbes photos.

C'est vraiment du professionnalisme d'un bout à l'autre de ton site tellement intéressant sur ces contrées remplies de lumière et de mystère. Par tes photos, on y voit aussi bien la beauté des paysages que la vie quotidienne de ses habitants.

Si un jour, j'ai le bonheur d'aller visiter ce beau Portugal, j'irais puiser dans ton site le plus d'informations possible afin d'en savourer tous les instants que j'y passerais.

Merci aussi pour tes bons vœux pour Noël que je te réciproque chaleureusement. Mes bons vœux également à toi et à ta famille pour une "Bonne année 2003".

Odette B. Vancraenen, de Mont-Saint-Hilaire, Québec, le 13 décembre 2002.

Racines

Que rajouter de plus que tous ces gens portugais ou non vous disent sur votre site. C'est superbe, c'est émouvant de voir ces photos... C'est vraiment le pays que j'ai quitté il y a maintenant 33 ans avec ma mère et 4 frères et sœur...

Certaines photos ou articles réveillent tous les sens... Une sensation, une odeur oubliée qui revient et qui apporte son lot de souvenirs. Bien sûr je retourne régulièrement au Portugal ou je devrais dire à Santa Margarida (près de Alte). Le (mauvais) tourisme aidant j'en avais oublié tout ce qui fait la richesse de ce pays... La terre, les hommes, les plaisirs simples, prendre son temps... Parler avec mon père...

Voila je me suis immergé dans MON Algarve et c'est un trop plein d'émotion qui vient à la surface. Je ne sais pas qui vous êtes, mais la sincérité et l'amour pour cette région transpirent dans chacun de vos récits. C'est une fierté pour tout déraciné que de voir que d'autres peuvent parler de son pays avec autant de chaleur et d'enthousiasme.

Je ne suis pas un pro d'internet et encore moins un grand "littéraire" je me suis surpris à vous écrire, j'avais envie de transmettre un peu de mon émotion... Et c'est surtout en pensant à ma plus jeune sœur Margarida (et oui) née en France qui elle a su garder, ou plutôt s'approprier toute la richesse de ce pays... OBRIGADO.

Paulo, de France, le 6 novembre 2002.

Pays très attachant

Très bien ton site - gros travail. Jolies photos.

Nous l'avons fait, nous avons quitté Paris il y a un an, où nous habitions à coté de la Tour Eiffel et nous sommes venus ici en Alentejo ou nous avons acheté un terrain pour construire une maison. Actuellement nous en louons une à Porto Covo, où tu dois signaler les pastéis de nata de chez Marquês*, ils sont vraiment fameux (c'est sur la place à côté de l'église). Il faut aussi que tu goûtes les vins de Cortes de Cima, surtout son Syrah, il faut le citer sur ton site, c'est très bon (leur site internet n'est pas à la hauteur de leur vin).

*NDLR : Restaurante-Cervejaria Marquês, Largo Marquês Pombal, 10-11, Porto Covo.

Et on peut te donner toutes les choses qu'on découvre, un potier à Cercal, le restaurant de Luis à Sines, le bon restaurant pour le bacalhau à Brás (à Santiago do Cacém, et d'autres pour le gibier, il y en a un pour les bécasses à Sines, un pour le sanglier etc…

Comme toi nous voyons des choses se faire : un terminal gazier à Sines, la fermeture des deux pousadas de Santiago, l'aménagement de parkings le long de la grande plage au sud de Sines etc... qui participent de la destruction d'un pays tranquille et beau. Pour construire une nouvelle maison par exemple il faut détruire une ancienne.

Je fais une copie de ce mail à Ann car on prend des photos, elle t'en enverra. Si tu as la nostalgie de l'Alentejo, envoie un mail on te parleras d'ici. C'est un pays très attachant, nous ne regrettons pas notre décision.

Voir également leur Chronique d'un jardin annoncé

Jean-Paul Brigand, de Porto Covo, le 6 octobre 2002.

Petite découverte au Luxembourg

Cher ...,

Je reste toujours impressionné par ta persévérance et la qualité technique et artistique du site, et je sais de quoi je parle. Félicitations.

Petite découverte. Alors que les vins portugais ne constituent pas le contingent le plus remarqué des vins non-français en Belgique, on a quand même l'occasion de boire un bon Dão, mais ça se limite a peu près à ça. Par contre lors de ma dernière balade au Grand-Duché, (privé de Croatie depuis 2 ans, je n'ai pas résisté à l'envie d'une slivoviza locale, la Quetsch, introuvable en Belgique), j'ai trouvé chez Cactus (centre commercial à 8 km de Luxembourg sur la route vers la Belgique, Arlon) un choix extrêmement intéressant de vins portugais et notamment un vin d'Alentejo que je n'avais encore jamais eu l'occasion d'essayer.

Et malgré un prix très modique, peut-être le moins cher de la carte Cactus, environ 3 euros, ce vin ne manque ni d'équilibre, ni de personnalité, discrètement boisé et dense en fruits rouges, il ferait même la nique aux grandes et présomptueuses étiquettes françaises si ce n'était cet accent du sud qu'il aurait tort de cacher.

Pour tous les amis gourmands qui donnent priorité à l'élégance un peu de rude, plutôt qu'à l'origine trop coûteuse et souvent décevante, voilà une bonne surprise à partager, et même en aveugle si vous voulez étonner.

Jacques.

PS: je serais infiniment plus acide pour qualifier les vins du Nord que j'ai dû boire au litre dans le Nord quasi à la frontière espagnole côté Saint-Jacques. J'ai dû, là, accélérer le processus inéluctable de mon futur ulcère d'estomac. Heureusement que distillé il donne une sacrée aguardente. As-tu eu plus de chance dans la montagne, côté petites guinguettes du samedi soir ?

Jacques Marchal, de Louvain-La-Neuve (Belgique), le 23 septembre 2002.
wallonie.com

Havre de paix

Bonjour, je m'appelle Vincent.

Je voulais vous féliciter pour votre site formidable il m'a donné un peu de réconfort, en effet d'habitude je me rend à Monsaraz 3 à 4 fois par an mais cette année je n'y suis pas retourné depuis février et cela me manque. Mon prochain voyage est pour novembre, la fête de Golega. J'y retrouve beaucoup d'amis portugais tous cavaliers, mon épouse étant très passionnée par les Lusitaniens. J'essaierai de vous envoyer des photos de cette fête.

En ce qui concerne l'Alentejo et plus particulièrement Monsaraz c'est tout simplement un havre de paix ou je me ressource profondément même si cette société de consommation est en train de nous rattraper à la vitesse d'un TGV (Monsaraz sera bientôt au bord de la mer !!!) Heureusement notre maison située au pied du château nous préserve de la foule des touristes. Cette vue illimitée vers un coucher de soleil vous donne des frissons de bonheur.

Merci encore pour la qualité de votre site. NB: Si des francais se trouvent à Golega et qu'ils se sentent un peu perdus je passe mes soirées au bar Convivio. Mon portable : +33686003738.

Vincent, de France, le 22 septembre 2002.

Oasis préservé

Bonsoir,

Merci pour votre chronique sur le miel de forêt du Tràs os Montes : super, comme d'habitude. Je ne suis pas étonné que vous ayez aimé cette province : les amateurs la tiennent pour l'autre "royaume"-oasis encore préservé (après l'Alentejo). C'était également la province préférée de l'écrivain Miguel Torga qui en est originaire je crois. [...] Sur ce, bonne reprise. Cordialement,

Philippe Martins, de France, le 8 septembre 2002.