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| PhotoMania |
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Une
rubrique dédiée uniquement à la photographie,
par séries de 10 photos sur un thème, un événement
ou un lieu.
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Mode d'emploi
: Cliquer sur la série qui vous intéresse.
Une fois la page ouverte, cliquer au choix sur une des photos
du bandeau des miniatures pour la voir agrandie et ainsi
de suite.
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Sierra
de Aracena (Andalucia)
Cliquer
sur le bandeau pour accéder à la première
photo.
Escapade
photographique
dans la magnifique et proche Sierra andalouse.
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Cercal
- Photos © Jorge Chaves
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photo.
Cercal,
village alentejano est un lieu bien tranquille,
où je passais mes vacances d' été lors de mes jeunes
années d'étudiant. J'y suis revenu plus tard, bien
plus tard, et encore plus tard j'ai décidé d'y rester,
presque 2 années. De la ville-lumière (où le rythme
de vie à "300 à l'heure" et "le bon air "du
grand Paris m'épuisaient) pour aller jusqu'aux terres
Além do Tejo, il n'y avait qu'un pas! En fait,
il a fallu 2 jours de route !!! C'était l'aventure!
Il
y a une fanfare
(Banda Lira Cercalense) ainsi qu'un Grupo
Coral qui est très sollicité et qui organise une
rencontre annuelle de Corais Alentejanas.
La traditionnelle procession
da Virgem Maria (dont j'ai vu son habit recouvert
de billets de banque) ainsi que les nombreuses fêtes
et tout récemment as feirinhas qui ont lieu
chaque année, font que la convivialité est toujours
présente.
Les
terrasses des cafés do Largo dos Caeiros, sont
toujours très animées ,et y règne une ambiance, un
peu bruyante, mais tellement sympathique. On y déguste
avec plaisir o cafézinho e o bolinho de fin
de matinée !
Certaines
attaches n'y sont plus, d'autres sont restées, et
des nouvelles sont en train de naître. Le temps et
le silence n'ont pas bougé . Je ne suis plus à Cercal,
mais j'y retourne pour de brefs séjours et je reviens.
Et peut-être qu'un jour, qui sait...
Jorge
Chaves.
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Porto
Covo da Bandeira
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Une
journée…
Profiter
d'un artisanat local anachronique et de qualité
Se procurer le recueil des
artisans de la région de Santiago est
gratuit à la maison de tourisme, le long
du marché à droite - toujours
téléphoner avant de se déplacer.
On peut également utiliser comme guide,
le livre Artesanato da Região Alentejo
édité par l'Instituto do Emprego
e Formação Profissional do Alentejo.
 à
Porto Covo :
- manger les pâtisseries Marquês
sur la jolie place, les glaces sont également
parfaites.
à Santiago do
Cacém :
- Tapis au point d'Arraiolos : grupo de Tapeceiras
de Santiago do Cacém 269 826 957
à Vila Nova
de Santo André :
- Azulejos José Sustelo - Casa do Artesão
936 278 654
- Objets de bois : José Maria Dias 269
751 116
à Alvalade :
- objets de tôle métallique : Joaquim
Revira 269 595 320
- huile d'olive : Lagar de Alvalade (en décembre)
269 595 126
à Cercal :
- Miel de lavande Carlos Alberto 269 949 133
- Terres cuites traditionnelles : Antonio Loução
de Matos 269 904 254
 plus
loin à Alcácer
do Sal :
- sellerie artisanale à Correaria Machado
e Goucha
Visiter
- les ruines
romaines de Santiago do Cacém (Mirobriga)
- le petit musée
de Sines
Une journée une nuit...
- Évora
(patrimoine mondial) incontournable mais très
touristique.
- Estremoz
avec son joli musée de figurines en terre
cuite (en face de la pousada). Dormir à
la pousada
Rainha Santa Isabel d'Estremoz est un plaisir
unique.
Deux jours ou plus...
- aller visiter le palais
des Bragance à Vila
Viçosa (émouvante visite des
appartements du dernier roi du Portugal conservés
intacts depuis sa mort, jolie collection de
porcelaine).
 -
faire la route des vins Borba, Vidigueira, Redondo,
Reguengos …
Pour bien faire, se munir de la carte Michelin
940 - Portugal et suivre la route des vins.
Se renseigner localement dans les bureaux de
tourisme (posto de turismo) sur les caves pouvant
être visitées.
- aller voir le soleil se
coucher au Cap Saint
Vincent par la route de Monchique (la pousada
moderne de l'infante à Sagres offre une
vue superbe sur la côte sud).
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Alcácer
do Sal
Balade
à Alcácer do Sal lors d'un séjour
bien sympathique chez l'ami Jean-Claude
Petit en mai 2004, sur
ses terres.
Cliquer
sur le bandeau pour accéder à la première
photo.
Jean-Claude
nous parle de sa ville :
Au
VIe siècle av. J.C., Alcácer do Sal
est encore une fortification romaine. Il en reste
un forum et des vestiges. Vers l'an 715, elle devient
Al-Kasr, un Alcazar, une forteresse
maure crénelée avec vue stratégique
sur le Rio Sado et ses méandres.
Il en reste un castelo, sauvé par une
pousada.
La ville s'est d'abord
édifiée sur le contrefort qui domine
le fleuve. Il en reste de pittoresques quartiers escarpés
aux venelles pavées, alambiquées, où
croulent figuiers de Barbarie et bougainvillées.
Elle est aujourd'hui à la croisée des
grandes voies qui mènent de Lisboa à
Madrid et de Lisboa en Algarve. Un point
de passage quasi obligatoire.
C'est bien plus une
bourgade agricole qu'une ville, en dépit de
ses quelque 14 000 habitants. Bourgade parce qu'elle
a su garder son aspect villageois autour de sa place
centrale ombragée de platanes, ouverte sur
la fraîcheur du fleuve : un rio paresseux,
limoneux qui oscille au gré des marées.
On y était pêcheurs au temps où
le poisson abondait. Quelques uns demeurent qui chassent
l'anguille en amont, là où le Sado
tend à se rétrécir jusqu'à
devenir rivière et forêt galerie.
En aval, il s'évase
en estuaire jusqu'à la Baie de Setùbal.
On y est toujours producteur de sel, de riz et de
pignons, la trilogie d'or.
Les maisons de façade
et celles des ruelles se restaurent peu à peu,
un hôtel s'y rebâtit "à l'ancienne",
des demeures de maître retrouvent leur éclat.
On peut rêver d'une Alcácer encore
plus blanche, mais la ville n'évoluera guère
qu'en périphérie. Ses commerces de proximité
résisteront encore aux grandes surfaces, tant
que vivront les bonnes gens des quartiers qui sont
l'âme de la cité.
On y vit bien et calmement
entre Vizinhos de coração comme
on dit, si on a par ailleurs le goût de la fête
et de la rue, à la manière alentejane,
c'est-à-dire à la façon du sud.
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©
Alquimista.net
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